- Dès le début des opérations militaires, avec les restreints tyranniques (blocus et autres), de la part des pays de la coalition contre le Yémen, à savoir le 26 mars 2015, il en était claire que le secteur économique fut en tête des cibles à viser intentionnellement par raides aériennes. Résultat : situation économique est détruit, ce qui est reflété sur le mode de vie des citoyens souffrant énormément aujourd’hui.
- Les pays de la coalition ont occupé un certain nombre de régions dans le sud de la patrie et peu dans le nord (Marib). Ils y ont contrôlé le secteur le plus dynamique, celui du pétrole et du gaz ainsi que les ports maritimes, aériens et terrestres, les gérant au mauvais gré. La coalition a intentionné de pratiquer des politiques méthodiques au service de ses intérêts détruisant l’économie nationale, ce qui a touché directement négativement la vie de millions de citoyens.
- Les pays de la coalition ont causé de dégâts graves aux capacités productives du Yémen, malgré les appellations des organismes des Nations Unies à neutraliser le secteur économique yéménite et à éviter de l’utiliser comme moyen de guerre, car « viser l’économie » est compté comme un crime de guerre selon les lois et régulations du droit international.
- La production dans toutes les activités économiques se trouve aux taux de développement négatifs, voire aux plus bas depuis les six ans de l’agression en mars 2015 au mars 2021, elle en est subie de grosses pertes. La raison de cela se base sur les procédures des restreintes arbitraires appliquées sur le Yémen par les pays de la coalition. Il en est comme ainsi :
- Le fait de viser, au niveau méthodique voire direct, l’infrastructure et les institutions de l’état ; détruire les plantes commerciales, industrielles, agricoles, animalières et poissonnières, soit publiques ou privée.
- Le contrôle sur la Banque centrale suite à son transfert de son siège principal pour Aden, et l’arrêt de délivrer les salaires aux fonctionnaires de l’Etat.
- Le blocus terrestre, maritime et aérien appliqué sur l’activité économique, et soumettre l’importation des gaz, pétrole, diesel, matières alimentaires et médicaments à des mesures abusives.
- Viser le capital national par occuper les revenus pour but de saignée d’argent.
- Causer de l’inflation pour l’offre monétaire par l’impression de milliards de notes monétaire illégales, adopter des politiques financières et monétaires visant l’affaiblissement de la monnaie nationale.
- Viser les pêcheurs yéménites sur la côte de Midi à Nashttoun, tuer des centaines d’eux, faire couler des bateaux de pêche, se conduire avec désordre dans les points de pêche yéménites existant dans les eaux territoriales yéménites en employant des moyens internationalement interdits. De même pour la pollution de l’environnement maritime.
PREMIÈREMENT : ciblage des installations industrielles et productives
- Les plantes économiques productives ont connu d’énormes pertes pendant les six ans de la guerre dû à la prise pour cible directe par les centaines de raides aériennes et maritimes ; il s’agit également de la vise indirecte dû au blocus et aux mesures abusives. Ceci a diminué la production, le marché local n’a pas pu couvrir le besoin de la consommation car tout ou presque s’est arrêté de fonctionner. Le but de la coalition devint clair : affamer et tuer le peuple yéménite. Les destructions effectuées de façon méthodique sont soulignées comme ainsi :
- Destruction et endommagement des : 15 aéroports, 16 ports maritimes, 307 stations de génération d’électricité, 551 réseaux de télécommunication, 2288 réservoirs et réseaux d’eau, 1978 plantes et institutions publiques, 4764 rues et ponts.
- Destruction et endommagement des : 395 usines, 292 pétroliers, 11387 plantes commerciales, 416 plantes de poulaillers et bétail, 7495 moyens de transport, 464 bateaux de pêche, 904 stocks d’alimentation, 394 stations d’essence, 680 marchés locaux, 815 camions porteurs d’alimentation… avec de centaines de victimes et blessés.
- Destruction et endommagements de plus de 150 entreprises d’investissement, arrêt de travail à une bonne centaine de compagnies commerciales qui ne fonctionnent plus ni d’activités ni de projets ou programmes économiques ou d’investissement.
- Estimations de pertes (en U.S. Dollars) chez les secteurs de production et économiques pendant les six ans de guerre contre le Yémen :
- Dans le secteur d’Electricité : 10 milliards et 600 millions $ US;
- Dans le secteur de Pétrole et de Gaz : 45 milliards et 483 millions $ US;
- Dans le secteur de l’Agriculture : 111 milliards, 279 millions et 270 mille $ US;
- Dans le secteur de la Pêche : 10 milliards U.S. Dollars;
- Dans les secteurs de Transport maritime, aérien et terrestre : 7 milliards $ US;
- Dans le secteur de Télécommunications et de la Poste : 5 milliards, 452 millions et 572 mille $ US;
- Dans les deux secteurs des Eaux et Environnement : 383 milliards, 646 millions et 369 mille $ US;
- Dans le secteur de Tourisme : 5 milliards $ US;
- Dans le secteur d’Aviation et de météorologie : 5 milliards et 277 millions $ US;
- Dans l’Autorité nationale des affaires de Transport publique terrestre: 207 millions et 346 mille $ US;
- Dans le secteur de Routes et Travaux publiques : 3 milliards et 300 millions $ US.
- Quant au secteur privé au Yémen, il s’agit d’énormes pertes pendant les six ans de guerre, il en est estimé, selon un rapport de gouvernement, à entre 25 et 27 milliards $ US. Il en est essentiellement dans les secteurs des : Commerce de la vente en gros, restauration et hôtellerie ; ces deux derniers ont souffert le plus de pertes avec une proportion de 18%. De suite, viennent les secteurs des Transport, Stockage et Télécommunications avec 16%. Le secteur de la Construction avec 11.5%. Finance, Assurance et bien-fonds avec 9.6%. Agriculture et Pêche avec 9%. Ensuite, le secteur de l’Industrie transformationnelle avec 8%.
- Les pays de la coalition dont les Etas Unis, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis en tête, avec leurs partisans de groupes armés avaient l’intention de choisir les zones industrielles pour espace de fronts. Hudaydah en est un exemple, toutes les plantes industrielles, commerciales et productives ont été visées par ces pays de la coalition et leurs mercenaires. En conséquence, plus de 27 mille ouvriers et ouvrières ont perdu leurs métiers, ils ont été licenciés suite à la destruction et à l’endommagement de telles activités d’investissement. Ceci a directement touché la vie des milliers de familles qui dépendaient entièrement de ces activités. De même, l’infrastructure et les établissements économique et commercial ont été détruits ou gravement endommagés dans de divers gouvernorats. Il en devient certes que le Yémen souffre aujourd’hui d’un catastrophe humanitaire aigu, il passe en phase cinquième de la famine, selon la classification mondialement connue.
DEUXIÈMEMENT : Transfert du siège de la Banque centrale, gel de tout mouvement de fonds, arrêt du paiement des salaires:
- La décision de septembre 2016 de transférer la gestion de la banque centrale vers la ville d’Aden occupée par l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unies, et puis de perturber ses fonctions dans la capitale Sanaa n’était qu’un complément à la série des crimes visant, non seulement, à frapper l’économie nationale et la stabilité monétaire, mais aussi à resserrer le siège et à restreindre les conditions de vie du citoyen yéménite. Ce transfert fait une violation remarquable à la constitution yéménite et à la loi relative à l’établissement de la Banque Centrale du Yémen. Il en est clair que ses fonctions ne deviennent qu’au service de la coalition qui domine 90% des revenus de la République du Yémen. Ce transfert n’a pas servi le peuple yéménite, les salaires publics se trouvent en arrêt pour les civils, militaires et retraités.
- Plus d’un million et deux cent mille employés de l’Etat ne touchent plus leurs salaires depuis le transfert du siège de la Banque centrale de la capitale Sanaa au gouvernorat d’Aden en août 2016. La question des salaires est en effet liée, depuis cette date, à des calcules politiques internationaux et à des calcules et intérêts des partis et des régionalistes. Et cela arrive à une période où les fonctionnaires souffrent de guerre et des conditions de vie critiques et déplorables. De plus, les institutions gouvernementales sont alors incapables de fournir leurs services de bases aux citoyens, tandis que le soi-disant gouvernement de Hadi continue de monopoliser les revenus pétroliers et gaziers tout en refusant d’assumer la responsabilité de payer les salaires des employés.
- A l’époque où la Banque Centrale existait à Sanaa durant la direction du Comité Suprême Révolutionnaire, la Banque délivrait les salaires à tous les fonctionnaires publics dans les deux secteurs civil et militaire dans toute la République du Yémen, elle délivrait également les besoins nécessaires à certains (de genre hospitalisations). Suite au transfert de la Banque Centrale pour Aden en septembre 2016, le gouvernement dit Gouvernement de délivrance se trouvait en déficit pour payer les salaires dû aux revenus nationaux minimes qui ne couvrent que 8.5% de salaires conformément au budget de 2014.
- Les impacts économiques résultant du transfert de la direction des opérations de la Banque Centrale de la capitale Sanaa au gouvernorat d’Aden au mois de septembre 2016 :
- La suspension de payer les salaires à un million deux cent cinquante salariés environ dans la fonction publique;
- La contradiction touchant la confiance de la communauté non seulement yéménite mais aussi internationale suite aux conséquences de la décision du transfert dont de dégâts sociaux, particulièrement lorsque Hadi et le Gouvernement de Riyad ont échoué de regagner la stabilisation [surtout sécuritaire] à Aden;
- L’effet négatif direct sur les compagnies et institutions, commerçants et hommes d’affaires qui n’arrivent plus d’importer de marchandise, dû à l’absence de la confiance au niveau des relations;
- L’effet négatif sur le système bancaire dans bien de gouvernorats à cause de l’absence de la liquidité;
- L’affaiblissement du pouvoir d’achat vis-à-vis d’autres monnaies;
- L’augmentation de prix des produits, la plupart des individus ne peuvent plus assurer leurs besoins nécessaires. C’est pourquoi les taux de pauvreté ont connu une croissance remarquable. Quelques produits sont disparus, de plus de l’augmentation de prix de façon grave;
- Le taux de chômage a augmenté à cause la fermeture de beaucoup de compagnies, usines et établissements;
- La banque Centrale à Aden a exprès arrêté les dues périodiques pour Sanaa et les gouvernorats sous contrôle du Conseil politique pour couvrir les dépenses administratives et les intérêts propres aux déposants, ce qui a fait de crise pour les banques yéménites de ne pas pouvoir assurer leurs engagements; faudrait signaler qu’il existe 85% d’établissements du secteur bancaire yéménite en tant que marché de consommation commerciale et vue des transactions financières, mandats locaux et externes avec de liquidité monétaire;
- La banque Centrale à Aden a restreint les chèques de transactions financières locales et externes pour but de les contrôler, voire prédominer les réseaux des Western Union, MoneyGram, SHiFT et autres, du prétexte “permis de travail”. Faudrait mentionner que 27% de la population profitent de telles transactions.
- En réponse à l’accord de la Suède, le Cabinet de ministres à Sanaa a délivré un décret relatif à l’exécution de l’initiative établie par le Conseil politique suprême relative à l’ouverture d’un compte spécial dans la branche de la banque centrale à Hodeïda, réservé aux revenus et rentes des ports maritimes des : Hodeïda, al-Salif et Ras-Issa, compte duquel faudrait payer les salaires de tous les fonctionnaires, conformément aux ententes conclues à Stockholm au niveau économique.
- Le gouvernement de Sanaa a appelé les Nations Unies à effectuer son devoir au sérieux, et demandé à l’Arabie saoudite et aux Emirats avec leurs mercenaires de s’engager à régler le déficit estimé entre le total des salaires et le solde collecté sur le compte des salaires. Ces deux pays n’ont pas respecté leurs engagements et ont continué de piller les rentes du pétrole, du gaz et des revenus des ports maritimes.
TROISIÈMEMENT: Embargo terrestre, naval et aérien sur les activités économiques
- Le blocus extensif terrestre, maritime et aérien, ainsi que les mesures abusives depuis six ans, le tout a fait subir le pays. La coalition continue à fortement clôturer et interdire les produits nécessaires et vitaux au peuple yéménite. La coalition a imposé ces mesures et créé des difficultés et obstacles causant d’énormes pertes vis-à-vis des compagnies maritimes internationales lors de l’arrivée exceptionnelle aux ports yéménites ; des amendes sont imposées à ces compagnies et aux importateurs contre attente et non décharge à temps. Ainsi, les compagnies de maritimes internationales abandonnent de faire de cargos pour les ports yéménites. De même, les prix de cargos importés augmentent, il en est ainsi pour les produits importés de genre alimentation et médicaments, et une pénurie étranglant dans le carburant et ses dérivés. Le tout fait souffrir les citoyens yéménites dû à la crise grave au niveau de la fonction des hôpitaux, usines et transport.
- Ces restrictions ont poussé les commerçants à expédier les marchandises, d’abord, vers les ports des pays voisins, en particulier celui de Dubaï, puis les transporter par la route pour atteindre les ports terrestres du Yémen, notamment celui d’al-Waddi’a. De là, les camions de transport devaient prendre des routes dans des zones d’affrontements militaires. C’était risqué, car certains de ces envois ont été soumis à des chantages pour pouvoir passer par le port d’al-Waddi’a à destination de Marib, puis vers Sanaa et les autres gouvernorats; d’autres ont été pris pour cible sur la route par l’aviation saoudienne. Cette alternative n’était donc pas la bonne solution, elle était coûteuse, voire risquée, ce qui a pareillement contribué à la hausse considérable des prix dans les marchés locaux aggravant ainsi la souffrance des citoyens.
- Le blocus appliqué par les pays de la coalition sur le port de Hodeïda a mené à l’augmentation sur le coût de transport ce qui a fait une pénurie sévère sur le carburant dû à la détention des tankers pétroliers interdits d’avoir accès au port de Hodeïda en payant plus d’amendes pour le retard. Ceci a fait de paralyse total et aggravé la situation humanitaire : arrêt de fonctionnement dans les secteurs de service et de santé. L’estimation de la période de la détention aux tankers dépasse 1500 jours, au total d’amendes de 29 millions de dollars.
- Le blocus ainsi que l’épidémie de Covid-19 ont aggravé fortement la situation économique. Les transactions et mandats financiers ont baissé de 80% durant le premier semestre de l’an 2020 : licenciements, paralyse des activités industrielle et commerciale existant à 70%, ce qui a mené à la perte de métiers pour 80% d’employés dans le secteur privé, passant à 90% vu les mesures de lutte adoptées contre le Coronavirus.
QUATRIÈMEMENT: Saisie et épuisement des ressources financières
- La coalition contre le Yémen (les Etats Unis, l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis en tête) a travaillé pour arrêter les exportations du Yémen en pétrole et en gaz ainsi que les recettes en devises étrangères. En plus de l’arrêt des opérations de la banque mondiale au Yémen, estimées à environ un milliard de dollars par an, et de l’épuisement des réserves de trésorerie auprès de la banque centrale du pays, ils ont procédé à la diminution des transferts d’argent en devises étrangères vers le Yémen, à la fermeture des bureaux des organisations, des ambassades, des missions étrangères et des attachées commerciaux internationaux au Yémen, ainsi qu’à la suspension des projets de développement.
- Le contrôle de la coalition sur le secteur pétrolier a primé l’Etat Yéménite 75% de ses revenus que le trésor public recevait, même en monnaies étrangères. Faudrait souligner que le Yémen produit plus de 18 millions de barils de pétrole brut en 2018, au prix total d’un milliard de dollars. En 2019, la production du pétrole brut a atteint 29 million et 692 mille barils, au prix total de deux milliards et 300 millions de dollars. Pour l’an 2020, la production a atteint 31 millions et 620 mille barils, l’équivalent de deux milliards et 24 millions de dollars.
- Tous les revenus du pétrole et du gaz sont sous contrôle de l’Arabie saoudite et les EAU, leurs mercenaires qui les ont vendus avec cinq milliards et 620 mille de dollars entre 2018-2020. Il s’agit d’énormes sommes qui devraient couvrir les salaires des fonctionnaires ; ces sommes étaient déposées dans la Banque Al-Ahli en Arabie saoudite et sont exploitées par la coalition, et pour le blocus.
- Ce pillage à la richesse du Yémen (pétrole et gaz) par les pays de la coalition continue jusqu’à la rédaction de ce rapport. La coalition pratique de l’extorsion politique lorsqu’elle détient les tankers et applique le blocus extensif visant directement les secteurs productifs et économiques, ce qui a mené à la souffrance dure subie par les citoyens.
- Les pays de la coalition contre le Yémen ont transfert toutes les importations commerciales de Hodeïda au port d’Aden. Des transferts de crédits, dons et rentes ont été virés aux successorales de Marib et d’Aden, précisément à la Banque Centrale d’Aden. Il y existe également un dépôt de deux milliards de dollars.
- Le gouvernement yéménite de Sanaa a positivement agi dans le cadre de l’initiative des salaires et a déposé, sur le compte prévu à cet effet auprès de la Banque Centrale à Hodeïda, les revenus des frais douaniers et de taxes des pétroliers pour le mois de novembre 2019 : il s’agit de la somme totale de 6,212,231,986 Riyals Yéménites. Ce qui fait, de même, la somme totale de revenus déposés à la Banque Centrale, au 30 novembre 2019, de 11,863,474,243 Riyals Yéménites.
- La coalition a continué dans le rétrécissement financier et économique contre le peuple yéménite en le privant de tous les revenus. Elle a transfert les compagnies de télécommunication de Sanaa pour Aden pour but de pillage à ces revenus les exploitant dans les opérations militaires contre le peuple yéménite. Le blocus extensif, de même, a interdit de faire entrer quelques équipements et systèmes de communication et de correspondance dans le Yémen.
- Des centaines de plantes industrielles et productives se sont arrêtées à cause de l’abandon d’accès à des matières brutes et au carburant. Par conséquent, des milliers d’ouvriers et employés ont perdu leurs métiers, sources de vie, ce qui a augmenté le taux de chômage à 85%.
CINQUIÈMEMENT: Impression de billets de banque en dehors des politiques bancaires et économiques provocant de l’inflation
- L’un des causes de la grosse dette interne et externe se repose sur l’impression, effectuée par la Banque Centrale à Aden, des milliards de notes monétaires illégales sans couverture. Ceci a abouti à la croissance de l’offre monétaire, à l’inflation reflétée sur le taux montant de la pauvreté et le mode de vie en chute. Les mesures adoptées par la Banque d’Aden ne reflètent que l’état de trouble et d’échec au niveau de la direction politique financière et monétaire. La décision de l’impression de nouvelles notes monétaires ne s’applique point avec les considérations habituelles.
- La chute du prix de la monnaie nationale se réfère aux fausses politiques bancaires adoptées par la Banque Centrale à Aden, depuis le transfert de sa direction de Sanaa pour Aden. Cette dernière a recouru à l’impression de nouveaux billets, au total d’un trillion et 700 milliards pendant les trois ans passés. A noter que le montant dernièrement imprimé dépasse plusieurs fois ce que la Banque Centrale avait imprimé dès sa fondation il y a 40 ans. Cependant, l’offre monétaire en 2015 ne dépassait pas 850 milliards de riyals.
- Il en est claire que la chute du prix de Riyal yéménite face au dollar dans les régions de sud contrôlées par l’occupation saoudo-émiratie, à tel point que l’échange d’un dollar atteint aujourd’hui 900 Riyals yéménites. Cela montre de l’agitation des mesures et de la corruption financière et administrative de façon énorme. Cela a causé de l’augmentation sur les prix des produits alimentaires ce qui a fait une crise humanitaire tandis que le gouvernement de Salut national à Sanaa a maintenu le prix d’échange gardant le dollar à 612 Riyals yéménites.
SIXIÈMEMENT : ciblage des pêcheurs et du secteur de la pêche
- Les pertes dans les infrastructures du secteur de la pêche ont atteint 137 millions de dollars, le nombre de bateaux totalement détruits sur les côtes de Hodeïda et Hajja sont de 250, au total de coût atteignant 2 millions de dollars.
- Les pertes, en conséquence de la suspension de l’exécution des projets relatifs à la pêche sur la mer rouge ont atteint environ deux milliards de dollars. En revanche, les pertes à cause de la pêche illégale sans autorisation mais sous protection des navires des pays de la coalition ont atteint plus de trois milliards de dollars.
- L’évaluation totale des dommages environnementaux dus à la guerre : deux millions et cinq cents mille de dollars. Et les pertes des industries et services accompagnés au secteur de la pêche ont atteint plus de 21 millions de dollars.
- Les pertes dans les frais et rentes ont dépassé 120 millions de dollars. Il s’agit également de 40 mille pêcheurs touchés à cause de cette guerre et du blocus. Il existe aussi plus de 100 salariés entre fonctionnaires et contractés qui ont perdu leurs postes dans le secteur de la pêche. De même pour plus de 21 mille de la main d’œuvres assistante.
- Il s’agit de 45 exportateurs (soit des compagnies ou individus) des poissons et genres maritimes qui sont touchés à cause de la guerre et du blocus contre le Yémen. Il n’y existe qu’une seule compagnie d’export qui travaille, et encore au niveau limite, tandis que 50 usines et laboratoires se sont arrêtés de travailler dans l’activité de pêche, étant donné la baisse considérable de la production.
- Plus de deux millions de citoyens sont directement touchés au niveau de leur vie à cause de la guerre menée par la coalition, surtout ceux vivant soit en ville ou aux villages étendus sur la côte de la mer Rouge.