Au cours du mois de septembre 2020, les pays de la coalition américano-saoudienne et leurs mercenaires lancent des attaques aériennes et terrestres visant délibérément les zones peuplées, les installations vitales et les lieux civils dans différents gouvernorats de la République du Yémen. Dans ces attaques, de nombreuses maisons sont complètement détruites sur la tête de leurs habitants, pour la plupart des femmes et des enfants.
Les pays de la coalition et leurs mercenaires continuent de violer l’accord de Stockholm sur le cessez-le-feu à Hodeïda, en ciblant les maisons des citoyens dans différentes régions, touchées par des attaques disproportionnées ou aveugles. Ce qui arrive aux districts d’al-Durayhimi et de Hays en est un exemple, malgré la présence de représentants de l’ONU, chargés du suivi de la mise en œuvre de cet accord.
Les restrictions arbitraires imposées par les pays de la coalition -pour empêcher les navires chargés de produits indispensables à la vie des Yéménites (aliments, médicaments et produits pétroliers et gaziers) d’entrer dans le port de Hodeïda- sont toujours en vigueur. D’ailleurs, plus de 19 navires et bateaux transportant de carburant et de produits alimentaires sont encore bloqués en mer, malgré leur inspection et leur obtention des permis de passage délivrés par les Nations Unies.