Au cours du mois d’août 2020, les pays de la coalition de guerre dirigée par les États-Unis, l’Arabie saoudite et leurs mercenaires, continuent délibérément leurs raids aériens et leurs obus d’artillerie contre des lieux peuplés et des installations civiles vitales dans divers gouvernorats du Yémen, entraînant la destruction des maisons sur la tête de leurs habitants, principalement des enfants et des femmes.
Le siège injuste, contre le district d’al-Durayhimi en particulier et contre le peuple yéménite en général dans diverses provinces de la République du Yémen, se poursuit. Les habitants de cette région n’ont surtout pas accès à l’aide humanitaire. En plus de cela, les pays de la coalition continent de violer l’accord de Stockholm, à travers leurs attaques disproportionnées contre les maisons civiles dans différentes régions de Hodeïda, tout comme le ciblage direct des citoyens d’al-Durayhimi, en présence des représentants des Nations Unies, chargés pourtant du suivi de la mise en œuvre de l’accord de Stockholm.
Les restrictions arbitraires imposées par les pays de la coalition -pour empêcher l’entrée des navires, chargés de produits indispensables à la vie des Yéménites (aliments, médicaments et produits pétroliers et gaziers), dans le port de Hodeïda- sont toujours en vigueur. D’ailleurs, plus de 21 navires et bateaux transportant de carburant et de produits alimentaires sont encore bloqués en mer, malgré leur inspection et leur obtention des permis de passage délivrés par les Nations Unies.
